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INTERVIEW DE REZ'UPIEN :
Vanessa De Almeida - Le Monde de Sarada
QUAND TU ÉTAIS PETITE TU REVAIS D'être :
TON PARCOURS EN QUELQUES MOTS :
LA CHOSE LA PLUS FACILE À FAIRE LORS DE LA CRÉATION DE TON PROJET C’ÉTAIT :
ET TON PIRE CAUCHEMAR :
Si Tu pouvais remonter le temps, quel conseil te donnerais-tu ?
REZ’UP C’EST QUOI POUR TOI :
Après Rez'Up TU ES :
TON MOT DE LA FIN :
Je rêvais d’être créatrice de mode et masseuse… et au final, j’ai réalisé les deux.
AUJOURD’HUI QUI T'INSPIRE :
Ma famille, mes racines, mes origines et mes amis m’inspirent beaucoup. Et au-delà de mon cercle personnel, j’aime le contact humain. Mes voyages nourrissent aussi ma créativité : j’y chine des fils et des tissus d’ailleurs pour apporter une touche unique à mes créations.
TON PARCOURS EN QUELQUES MOTS :
Pendant le COVID, je me suis remise au crochet pour m’occuper. Au fil du temps, c’est devenu une véritable bulle dans laquelle je me plongeais chaque jour. Alors je me suis dit : pourquoi ne pas tenter le coup ?
LA CHOSE LA PLUS FACILE À FAIRE LORS DE LA CRÉATION DE TON PROJET C’ÉTAIT :
Pour être honnête, rien n’a vraiment été facile. La seule certitude que j’avais, c’était mon envie de crocheter. Alors, j'ai tenu le cap et j’avance pas à pas.
ET TON PIRE CAUCHEMAR :
Probablement l’inscription à l’INPI. Les informations ne sont pas assez claires et le site n’est pas très intuitif.
Si Tu pouvais remonter le temps, quel conseil te donnerais-tu ?
Fais-toi confiance et ne doute jamais de toi.
REZ’UP C’EST QUOI POUR TOI :
Une chouette aventure.
Avant Rez'Up TU ETAIS :
Un peu perdue face aux différents statuts d’entreprise.
Après Rez'Up TU ES :
Je me sens mieux armée, avec des outils concrets et j’ai enfin obtenu les réponses à certaines de mes questions.
LE PETIT PLUS DE REZ’UP POUR TOI :
La bienveillance des intervenants et des organisateurs. Je suis arrivée avec ce projet un peu fou autour du crochet et je ne me suis jamais sentie jugée. Au contraire, j’ai reçu des mots pleins de gentillesse, d’espoir et d’encouragement.
TON MOT DE LA FIN :
J’ai choisi la micro-entreprise pour limiter les risques dans la conjoncture actuelle. Se lancer n’est jamais simple, d’autant plus que je travaille à côté. Ma marque, Sarada, reprend les premières lettres de mes deux noms de famille. C’est un symbole personnel, une façon de mettre mes parents à l’honneur. J’ai choisi le 20 août comme date de lancement, car c’est le jour de leur mariage. Sans eux, je ne serais rien.
Pourquoi “le monde” ? Parce que j’avais envie que chacun puisse entrer dans mon univers de création et trouver son bonheur dans une pièce faite main : un sac, un vêtement, une décoration… Une part de mon monde, tout simplement.
Merci à Rez’Up et à tous les intervenants pour leur soutien et leurs conseils.